Top 5 des secteurs en tension (2025-2030) : là où la Cybersécurité va vraiment recruter

Sommaire

Ou comment choisir stratégiquement son futur métier (spoiler : il devrait y avoir du boulot pour tout le monde)


“La cybersécurité, c’est juste pour les banques et les GAFAM, non ?”

Ah, si seulement ! En 2025, la cyber s’infiltre partout. Votre médecin téléconsulte via une appli ? Cyber. Votre usine produit H24 grâce à des robots connectés ? Cyber. Votre voiture vous emmène au boulot pendant que vous scrollez LinkedIn ? Cyber !

Les 5 prochaines années vont transformer des secteurs entiers en terrains de jeu (et de guerre) pour les professionnels de la cybersécurité. Et pas que les pentesteurs. On parle de milliers de postes hybrides, à la croisée de l’expertise métier et de la sécurité numérique.

Accrochez-vous, on plonge dans les 5 secteurs qui pourraient exploser d’ici 2030. Là où la Cybersécurité va vraiment recruter.


🏥 1. SANTÉ NUMÉRIQUE
Quand votre dossier médical devient plus sensible que votre compte en banque

top 5 des secteurs en tension en cybersécurité

Le marché qui donne le vertige

Le marché mondial de l’IoT médical devrait atteindre 534,3 milliards de dollars en 2025. Oui, vous avez bien lu. Plus d’un demi-trillion de dollars ! Et avec ça vient un petit problème : 54% des incidents de cybersécurité dans la santé entre 2021-2023 concernaient des ransomwares, selon l’ENISA.

Pourquoi c’est explosif ?

La santé numérique, c’est le combo parfait du cauchemar cyber :

  • Télémédecine : Votre consultation médicale transite par Internet (donc peut être interceptée)
  • Dossiers patients électroniques : Toute votre vie médicale en un clic (donc une cible en or pour les cybercriminels)
  • IA diagnostique : Des algorithmes qui décident de votre traitement (donc sensibles aux manipulations)
  • Objets connectés médicaux : Pompes à insuline, pacemakers, moniteurs… tous hackables.

L’anecdote qui fait froid dans le dos : En 2023, un parc éolien… pardon, un hôpital en Bretagne a été victime d’une cyberattaque qui a perturbé son système de gestion pendant plusieurs jours. Imaginez : plus d’accès aux dossiers patients, opérations reportées, chaos total.

Les nouveaux métiers qui émergent

La santé numérique ne cherche pas des “cybersécuritaires classiques”. Elle cherche des profils hybrides :

  • Responsable cybersécurité santé : Comprend RGPD + DORA + les normes hospitalières
  • Expert sécurité télémédecine : Sécurise les plateformes de consultation en ligne
  • Auditeur dispositifs médicaux connectés : Vérifie que votre pacemaker ne peut pas être hacké
  • DPO Santé spécialisé : Navigue entre éthique médicale et protection des données
  • Architecte sécurité e-santé : Conçoit des infrastructures résilientes pour les établissements

Le chiffre qui tue : 81% des entreprises de santé considèrent la difficulté à recruter du personnel cyber comme un risque majeur d’attaques (Eurobaromètre 2024).

🚀 Ce qu’il faut retenir

L’Union Européenne lance son plan d’action sur la cybersécurité des hôpitaux en 2025. Traduction : des budgets, des formations, des recrutements. Si vous êtes infirmier.ère et que vous voulez bifurquer vers la cyber ? C’est le moment. Si vous êtes en reconversion et que vous connaissez le milieu médical ? Go !

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🏭 2. INDUSTRIE 4.0
Quand votre usine devient un terrain de jeu pour hackers

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La convergence IT/OT qui change TOUT

Pendant des décennies, les usines étaient des îles isolées. Les systèmes industriels (OT – Operational Technology) ne communiquaient pas avec le monde extérieur. Résultat ? Zéro cyber. Ou presque.

2025 : Game over ! Aujourd’hui, 30% des cyberattaques mondiales ciblent les environnements industriels, selon le Security Navigator 2025 d’Orange Cyberdefense. En France, 73% des industriels ont été victimes d’une attaque en 2024, et un sur quatre a dû arrêter sa production.

Le coût de l’inaction

L’exemple qui fait mal : Un industriel s’est fait attaquer par ransomware. Coût des dégâts : 2 millions d’euros. Investissement sécurité post-attaque : 500 000€. Si on le faisait avant, ça coûterait presque moitié moins cher !

Mais bon, on préfère payer l’ambulance que la prévention, c’est bien connu…

Les enjeux spécifiques de l’Industrie 4.0

  • IoT industriel partout : Des capteurs, des automates, des robots… tous connectés
  • Fusion IT/OT : Les réseaux informatiques et industriels qui se rejoignent (= surface d’attaque × 1000)
  • Systèmes obsolètes : Des Windows XP dans des centrales nucléaires (si si, c’est vrai !)
  • Maintenance prédictive : Des algorithmes qui prédisent les pannes… mais peuvent être trompés
  • Temps réel critique : Une latence de 0,1 seconde peut faire exploser une chaîne de production

Citation qui fait réfléchir : “Dans l’industrie, il ne s’agit pas d’appliquer un Zéro Trust extrémiste. La cyber doit être raisonnée, proportionnée, et orientée business.” – Frank van Caenegem, VP Cybersécurité EMEA de Schneider Electric

Les profils recherchés (et ils sont rares)

L’industrie 4.0 ne veut pas des “purs IT” qui ne comprennent rien aux contraintes de production. Elle veut des experts IT/OT hybrides :

  • Architecte cybersécurité OT : Sécurise les automates, SCADA, capteurs industriels
  • Analyste SOC industriel : Surveille les réseaux OT (c’est très différent de l’IT classique)
  • Consultant conformité NIS2 industrie : La directive européenne NIS2 impose de nouvelles normes
  • Ingénieur sécurité ICS/SCADA : Protège les systèmes de contrôle industriel
  • Pentester OT : Teste la sécurité des infrastructures industrielles (sans faire exploser l’usine !)

Le marché qui explose : Les dépenses en cybersécurité OT sont passées de 8,4 milliards USD en 2023 à un objectif de 26,9 milliards USD en 2030 (Westlands Advisory). Soit un triplement en 7 ans !

La formation qui manque

Le gros problème : il n’existe presque pas de formations spécialisées IT/OT en France. Résultat ? Les entreprises forment en interne, recrutent des ingénieurs automaticiens et les font monter en compétences cyber, ou inversement. C’est LE secteur où les autodidactes et reconvertis ont une carte à jouer.

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🚗 3. MOBILITÉ CONNECTÉE
Votre voiture, futur point d’entrée préféré des hackers

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Le futur qui roule (déjà) vers nous

Le marché des véhicules autonomes devrait atteindre 428,3 milliards de dollars en 2025 et grimper à 2 038,3 milliards d’ici 2030. Tesla annonce des capacités sans supervision pour 2025 aux USA. Waymo et Cruise font déjà rouler des robotaxis. Mercedes et BMW lancent leurs voitures niveau 3 d’autonomie.

Mais voilà le hic : Plus une voiture est connectée, plus elle devient vulnérable.

Les cas concrets qui font flipper

  • Des Tesla trompées par du scotch : Des chercheurs ont modifié un panneau 35 mph en 85 mph avec du simple scotch. La Tesla a accéléré. Oups.
  • Prise de contrôle à distance d’une Jeep Cherokee : En 2015, deux hackers ont pris le contrôle des freins, de la radio et d’autres fonctions. Résultat : rappel de 1,4 million de véhicules par Fiat Chrysler.
  • Attaque par autocollants : Des chercheurs de Tencent ont fait changer de voie une Tesla en pilotage automatique avec… des autocollants sur la route.

Le FBI le dit clairement : En 2024, l’agence a averti que la mobilité connectée pourrait devenir une cible privilégiée pour les cyberattaques.

Les défis uniques de la mobilité connectée

  • Latence ultra-faible : La voiture doit prendre des décisions en millisecondes
  • Disponibilité 24/7 : Pas question de “redémarrer” en pleine autoroute
  • Données massives : Une voiture connectée génère des téraoctets de données
  • V2X (Vehicle-to-Everything) : Les voitures communiquent entre elles et avec l’infrastructure
  • OTA (Over-The-Air) updates : Les mises à jour logicielles à distance… portes ouvertes aux hackers ?

La complexité légale : Qui est responsable en cas d’accident causé par un hack ? Le constructeur ? L’éditeur logiciel ? Le propriétaire ? Le législateur européen galère encore…

Les métiers de demain (qui existent déjà)

La mobilité connectée crée des besoins massifs :

  • Security Architect véhicules autonomes : Conçoit la sécurité de bout en bout
  • Pentester automotive : Teste la sécurité des voitures (le job le plus cool du monde ?)
  • Expert sécurité V2X : Sécurise la communication entre véhicules
  • Analyste forensic véhicule connecté : Enquête sur les incidents (l’équivalent de la boîte noire)
  • Responsable conformité automotive cyber : Navigue entre normes ISO, règlements UE, etc.

Le chiffre qui fait rêver : Seulement 45% des conducteurs se disent prêts à adopter un véhicule autonome. Traduction : il faut rassurer. Et pour rassurer, il faut des professionnels de la cybersécurité qui communiquent bien. Les profils “soft skills + cyber” sont une vraie valeur ajoutée pour cela.

Les initiatives européennes

L’UE met en place des corridors de test 5G sur plus de 1 000 km d’autoroute (Metz-Luxembourg, Munich-Bologne…).
Le but : tester la mobilité connectée en conditions réelles. Et devinez quoi ? Ils cherchent des experts cyber pour sécuriser tout ça.

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💰 4. FINTECH/CRYPTO
Le Far West numérique qui se civilise (un peu)

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L’explosion qui ne ralentit pas

Le marché mondial des néobanques était évalué à 143,29 milliards USD en 2024.
Objectif 2032 ? 3,4 trillions USD, soit une croissance annuelle de 48,9%. De quoi donner le vertige.

En France : plus de 1 000 entreprises fintech (contre 100 en 2015), 14 licornes et 54 000 emplois en 2024.

Le triptyque impossible

Les fintech doivent jongler avec trois impératifs qui s’opposent :

  1. Innovation : Aller vite, disrupter, expérimenter
  2. Sécurité : Protéger l’argent et les données des clients
  3. Régulation : Respecter une montagne de règles (DORA, MiCA, DSP3, AI Act…)

Le défi 2025 : Toutes ces réglementations entrent en vigueur en même temps. Les entreprises qui n’auront pas anticipé ? Elles coulent.

Les menaces spécifiques

  • Deepfakes : Des IA qui imitent votre voix pour vider votre compte
  • Phishing ultra-sophistiqué : Des sites clones parfaits, indétectables
  • Attaques sur la blockchain : Le hack de Bybit en février 2025 a coûté 1,5 milliard de dollars en Ethereum
  • Manipulation des smart contracts : Une virgule mal placée = des millions envolés
  • Fraude au président : Avec la voix générée par IA, c’est encore plus facile

L’exemple qui fait mal : Une grande banque nord-américaine a réduit ses incidents de 65% en adoptant des solutions de cybersécurité avancées. Économie ? 18 millions de dollars.

Les profils qui explosent

La fintech/crypto cherche des profils ULTRA-spécialisés :

  • Blockchain Security Engineer : Sécurise les smart contracts et protocoles DeFi
  • Crypto Forensic Analyst : Traque les transactions frauduleuses sur la blockchain
  • Compliance Officer Crypto : Expert MiCA + DORA + règlements nationaux
  • DevSecOps Fintech : Intègre la sécurité dès le développement
  • Threat Intelligence Analyst finance : Anticipe les nouvelles menaces
  • Expert biométrie & authentification : Remplace les mots de passe (enfin)

La pénurie critique : 38% des postes fintech ne trouvent pas preneur en raison de la concurrence féroce pour les talents. Si vous hésitez entre plusieurs secteurs ? La fintech paie bien.

La fintech verte décolle

Nouveau segment qui monte : la fintech verte (green fintech). Croissance prévue de 22,4% par an entre 2024 et 2029. Ces startups intègrent le suivi carbone, l’investissement ESG, etc. Et elles ont aussi besoin de cyber.

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5. ÉNERGIE RENOUVELABLE
Les smart grids, terrains de jeu des cyberterroristes

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La transition qui change tout

Les énergies renouvelables ne sont plus “l’avenir”, c’est le présent. En 2025, des pays entiers dépendent de leurs parcs éoliens et solaires pour leur électricité. Problème : ces infrastructures sont des cibles stratégiques.

Le scénario cauchemar révélé en janvier 2025 : Des chercheurs allemands ont découvert qu’une partie du réseau électrique européen repose sur un système vieux de 40 ans (Radio Ripple Control) avec des signaux non chiffrés et non authentifiés. Conséquence potentielle ? Un blackout de 60 GW en Europe avec un simple dispositif type “Flipper Zero” à 200€.

Les vulnérabilités réelles

  • Inverters solaires hackables : Plus de la moitié des fabricants sont chinois. FBI en alerte.
  • Smart grids interconnectés : Une faille dans un pays peut se propager à tout le réseau européen
  • Systèmes obsolètes : Des infrastructures critiques tournant encore sur des OS non patchables
  • IoT industriel non sécurisé : Capteurs, compteurs Linky, stations météo… tous connectés, rarement protégés

Cas d’école 2023 : Un parc éolien en Bretagne victime d’une cyberattaque. Production perturbée. Gestion à distance impossible. Et c’était un “test grandeur nature” des hackers selon les experts.

Les enjeux critiques

  • Temps réel absolu : Le réseau électrique fonctionne à 50 Hz. Descendre à 47,5 Hz = blackout total
  • Effet domino : Une attaque sur la production ou la consommation peut faire chuter tout le réseau
  • Infrastructures critiques : Définies par NIS2 et DORA = obligations de sécurité renforcées
  • Maintenance prédictive : Les IA qui gèrent les smart grids peuvent être trompées
  • Stockage d’énergie : Les batteries géantes deviennent des cibles

L’ANSSI tire la sonnette d’alarme : En France, la protection des infrastructures énergétiques est une priorité nationale.
Traduction : des budgets, des projets, des recrutements.

Les métiers qui émergent

Le secteur énergétique cherche des profils IT + énergie + OT :

  • RSSI énergie renouvelable : Sécurise parcs éoliens, centrales solaires, smart grids
  • Architecte cybersécurité smart grid : Conçoit des réseaux résilients
  • Analyste SOC infrastructures critiques : Surveille H24 les systèmes énergétiques
  • Expert conformité NIS2 énergie : La directive impose des audits réguliers
  • Pentester infrastructures énergétiques : Teste la sécurité sans provoquer de blackout
  • Ingénieur sécurité IoT industriel énergie : Sécurise les millions de capteurs déployés

Le chiffre qui impressionne : La France participe activement aux initiatives de l’ENISA (Agence UE de cybersécurité) pour sécuriser le réseau énergétique européen.
Objectif : zéro blackout d’origine cyber.

La formation qui monte

Des cursus spécialisés commencent à émerger : “Cybersécurité des infrastructures critiques”, “Sécurité des smart grids”, etc. Mais la pénurie reste massive. Les entreprises forment en interne, recrutent des ingénieurs énergie et les font monter en cyber (ou inversement).

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CONCLUSION : Choisir son terrain de jeu (et cartonner)

En synthèse

Ces secteurs ne cherchent pas “des experts cyber” génériques. Ils cherchent des profils hybrides qui comprennent à la fois :

  • Le métier (santé, industrie, mobilité, finance, énergie)
  • La cybersécurité (mais pas forcément la technique hardcore)
  • Les enjeux business et humains

Votre reconversion pro / RH / commercial / juridique / médical ? Elle a plus de valeur que vous ne le pensez dans ces secteurs !

Les 3 stratégies gagnantes

1. La spécialisation verticale
Devenez expert cyber d’un secteur. Exemple : “Je suis le spécialiste cybersécurité des smart grids en France”. Résultat ? Vous êtes rare, donc cher, donc recherché.

2. La passerelle métier → cyber
Vous êtes infirmier.ère ? Transitionnez vers la cyber-santé. Vous êtes ingénieur automatisme ? Passez à la cyber OT. Votre expertise métier + cyber = combo gagnant.

3. Le couteau suisse réglementaire
Maîtrisez DORA + NIS2 + MiCA + RGPD + ISO 27001. Vous ne serez peut-être pas technique, mais vous serez INDISPENSABLE pour la conformité.

Les 3 erreurs à éviter

Vouloir tout maîtriser : Impossible. Choisissez votre secteur.
Négliger les soft skills : La communication est cruciale dans ces secteurs.
Attendre la formation miracle : Elle n’existe pas. Formez-vous en continu, par petits bouts.

Le calendrier stratégique 2025-2030

  • 2025 : DORA, NIS2, MiCA entrent en vigueur → rush sur la conformité
  • 2026-2027 : Déploiement massif des infrastructures (smart grids, véhicules connectés…)
  • 2028-2029 : Premières générations de professionnels “natifs” de ces secteurs
  • 2030 : Maturité des marchés, besoins de spécialistes très pointus

Mon conseil ? Entrez maintenant dans un de ces secteurs. Dans 5 ans, vous serez “senior” alors que le marché sera en pleine maturité. Timing parfait.


Par où commencer (concrètement) ?

top 5 des secteurs en tension en cybersécurité

Pour chaque secteur, votre première étape :

🏥 Santé numérique :

  • Certification : DPO santé ou ISO 27001 Healthcare
  • Communauté : Rejoindre les groupes LinkedIn “e-santé” et “cybersécurité santé”
  • Événement : Paris Healthcare Week (tous les ans)

🏭 Industrie 4.0 :

  • Formation : IEC 62443 (LA norme cyber OT)
  • Lecture : Guide pédagogique Cybersécurité OT du GIMELEC
  • Événement : Smart Industries + SIDO Lyon

🚗 Mobilité connectée :

  • Certification : Automotive cybersecurity (ISO/SAE 21434)
  • Communauté : Chaire “Voitures connectées et cybersécurité”
  • Événement : VivaTech + salons automobiles

💰 Fintech/Crypto :

  • Réglementation : Se former à DORA + MiCA (gratuit sur EU Learning)
  • Communauté : Fintech France, FrenchWeb
  • Événement : Paris Fintech Forum

⚡ Énergie renouvelable :

  • Formation : Cybersécurité des infrastructures critiques (ANSSI propose des MOOCs)
  • Norme : NERC CIP (US) ou équivalent EU
  • Événement : Smart Energies Expo

En résumé : L’avenir de la cyber se joue dans ces 5 secteurs

La cybersécurité ne sera plus un “département IT”. Elle deviendra intégrée au cœur des métiers. Le médecin devra comprendre la cyber. L’ingénieur production devra penser sécurité. Le banquier devra maîtriser la blockchain.

Et vous dans tout ça ? Vous avez 2 choix :

  1. Rester généraliste et vous battre avec 10 000 autres candidats
  2. Vous spécialiser sur un de ces secteurs et devenir rare

L’un des 2 choix paie sans doute mieux, offre plus d’opportunités, et est bien plus intéressant.

La cyber de demain se construit aujourd’hui. Et elle se construit dans ces 5 secteurs. Alors, vous montez dans quel train ?


Pour aller plus loin :

  • ANSSI : Guides et formations gratuites
  • ENISA : Rapports sectoriels européens
  • Fintech France / France Digitale : Observatoires des métiers
  • GIMELEC : Club Cyber-OT
  • Événements : FIC Lille, SSTIC Rennes, Forum InCyber

PS : Les chiffres et cas cités dans cet article sont issus de sources officielles (ANSSI, ENISA, Orange Cyberdefense, Eurobaromètre, Westlands Advisory, etc.) et d’études de marché reconnues. La cyber, c’est du sérieux… mais ça n’empêche pas d’en parler simplement.

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